photo poster project | Une nouvelle façon accessible de participer à une exposition photo par Aco | ISSUE #128

Je m'appelle Aco, photographe depuis 6 ans. Je capture principalement des paysages dans les régions de Kanto, Kansai et Nagano.

Je poursuis les paysages spectaculaires des saisons, voyageant d'est en ouest. En fonction de la météo, des fleurs ou des feuilles d'automne, je décide souvent spontanément, parfois même la veille ou le jour même, de partir seule en voiture.
Récemment, j'ai été fascinée par les paysages de montagne et j'ai commencé la randonnée. Désormais, je vise à capturer des vues magnifiques, que ce soit depuis le sol ou au-dessus des nuages.

L'exposition se tenait à Kyoto, une ville que je visite souvent pour des séances photo et où se trouve la maison familiale de mon mari. J'ai reçu cette opportunité de cizucu et j'ai pensé que c'était une belle coïncidence pour participer à ma première exposition photo.

Tout était une première pour moi ! Ce qui m'a le plus séduite, c'est la simplicité : il suffit de choisir et d'envoyer les œuvres que l'on souhaite exposer. Cette facilité d'accès m'a vraiment encouragée à participer.

De plus, je n'avais jamais imprimé mes photos en grand format auparavant. L'idée d'exposer en format poster A2 était à la fois excitante et intrigante : je me demandais si les défauts seraient visibles (rires) et quelle serait la qualité de reproduction. C'était une excellente opportunité pour moi.

Il suffisait de s'inscrire et de se rendre sur place le jour de l'exposition. J'avais des doutes sur le fait que mes photos seraient réellement exposées, mais en voyant mes œuvres imprimées en poster A2, je me suis dit : « Pas mal du tout ! » (rires). J'étais ravie.

Il y avait un moment où nous devions parler de nos œuvres devant les autres participants (une discussion en galerie). C'était stressant, mais c'était aussi une belle occasion de partager en direct ce que j'exprime habituellement par écrit sur les réseaux sociaux, tout en ressentant les réactions des autres. Et surtout, les échanges avec les autres participants étaient une expérience précieuse et irremplaçable.

Le thème de cette édition était « liberté ». Comme l'exposition se tenait à Kyoto, j'avais d'abord pensé à une photo représentant un paysage typique de Kyoto, comme Sagano. Mais en réfléchissant à ce qui me représentait le mieux à ce moment-là, j'ai choisi une photo de montagnes illuminées par un Morgenrot (lueur rouge de l'aube) et des feuilles d'automne, car mon cœur était tourné vers les montagnes.

La photo a été prise à Kagamiike, à Nagano. La période de l'exposition coïncidait avec la saison des feuilles d'automne, et je voulais vraiment partager cette beauté avec tout le monde. J'ai également pu raconter les anecdotes de la prise de vue nocturne, ce qui m'a beaucoup plu.

La simplicité avant tout ! Même pour une débutante comme moi, il suffit d'un smartphone et de quelques clics pour s'inscrire. Ensuite, il ne reste plus qu'à se rendre sur place pour voir ses œuvres briller dans l'exposition.

Les participants sont très variés en termes d'âge, de genre et d'expérience. Mais comme nous partageons tous une passion pour la photographie, les échanges sont faciles et enrichissants. Lors de mon édition, j'étais la seule non-résidente de Kansai, mais j'ai pu échanger des informations sur les lieux de prise de vue avec les autres participants, ce qui était très précieux.

Que vous n'ayez pas de compagnons de photographie, que vous souhaitiez faire connaître votre travail ou que vous vouliez simplement discuter de photographie, ce projet est ouvert à tous les passionnés de photo. Alors, n'hésitez pas à participer !